article intéressant j ai entendue une histoire similaire dans ma région

:Hier, la police nationale est intervenue près du lycée Baudelaire de Cran-Gevrier, près d’Annecy.
Hier, la police nationale est intervenue près du lycée Baudelaire de Cran-Gevrier. Deux jeunes lycéens qui venaient de fumer un joint à l’extérieur de l’établissement ont été pris d’un sévère malaise et hospitalisés d’urgence à l’hôpital d’Annecy. La police évoque une intoxication.
Le stupéfiant a été analysé par l’hôpital. Une analyse qui n’a rien donné. Un laboratoire privé spécialisé dans ce genre de produit va tenter d’en savoir plus. Il s’agit très probablement d’une drogue de synthèse extrêmement dangereuse. Selon nos informations, des cas d’intoxication du même genre ont été signalés du côté d’Argonay. La police et le procureur de la République lance un appel à la plus grande vigilance concernant ce produit.
article parue sa c'est passer le 13/03/2015
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L'adolescente de 16 ans, qui avait reconnu vendre des stupéfiants de synthèse dans le bassin annécien, a été déferrée devant le procureur puis présentée au juge des enfants hier. Elle a été mise en examen pour administration de substances nuisibles et provocation à l'usage de substances présentées comme ayant l'effet de produits stupéfiants. En mars dernier, plusieurs de ses jeunes clients avaient été pris de malaises, liés à de fortes chutes de tension, après avoir consommé les substances incriminées.
La jeune fille a été laissée en liberté surveillée jusqu'a son procès qui devrait intervenir dans les prochaines semaines. L'enquête de police a démontré que la jeune fille, âgée de 15 ans au moment des faits, se livrait à la vente de produits de synthèse depuis plusieurs mois, sur le bassin annécien. Au total, cinq adolescents avaient été hospitalisés après avoir consommé ces produits. Sans compter quatre autres cas similaires autour de Rumilly, qui pourraient également être liés à ce trafic. C'est un médecin urgentiste qui avait donné l'alerte après avoir constaté une recrudescence de malaises similaires et suspects.
Les molécules de synthèse identifiées n'étant pas classées comme produits stupéfiants, le parquet d'Annecy a retenu l'administration de substances nuisibles et la vente de substance présentées comme des stupéfiants, pénalement condamnable: "Vendre une barre au caramel en disant au client que c'est de la résine de cannabis expose le vendeur à une condamnation pour trafic de stupéfiants" explique un enquêteur.
La jeune fille, aurait reconnu une grande partie des faits et indiqué avoir mis en place ce réseau de vente de produits "légaux" pour se faire de l'argent, sans se soucier des conséquences sanitaires éventuelles. Le trafic aurait concerné au total plusieurs centaines d'adolescents du bassin annécien.
A+
