Tarcaro a écrit:Le flashing théoriquement c'est 36h de nuit, pas 24. mais bon...j'ai jamais testé !
Merci juste de pas dire de connerie à l'avenir,
sources :
Cette technique consiste à interrompre la phase de floraison, par une période de lumière continue de 36 heures à un moment donné.
Il s'agit d'effectuer une légère reprise de croissance à la plante, visant à augmenter le potentiel de matière végétale, aux alentours du 22ème jour de flo jusqu'au 30ème environ, en lui donnant 36 heures de lumière non-stop au lieu des 12h initialement prévues. Le moment opportun se situant vers la fin de la période de stretch, et est donc variable selon les variétés. Exemple : cycle 12/12 >> on l'interrompt le jour J avec 36h de lumière non-stop >> puis retour au cycle 12/12.
Le but est de modifier la balance hormonale ; ainsi, le stretch se verra accéléré, les buds s'en trouvent allongés. Bref, une production accrue, mais une durée de flo également plus importante...
Du fait d'une plus longue période de floraison, le flashing ne doit pas se pratiquer si :
on n'a pas le matériel nécessaire pour bien exploiter cette technique. La réelle pénétration lumineuse des lampes, et la taille du placos, sont des facteurs limitant.
on dispose de plantes de type sativas, réputée pour leur hauteur naturelle, avec une flo suffisamment longue. Car, une fois encore, nous sommes limités par le matériel.
l'espace utilisé est en perpetual harvest. Car si l'on fait des sessions en permanence, le flashing allongeant la flo, on en fais donc moins. Par conséquent, le gain de productivité gagné à chaque fois est inférieur à une voire deux récoltes supplémentaires que l'on peut effectuer durant une année si l'on ne pratique pas le flashing.
Enfin, nous pouvons noter que le flashing est également déconseillé avec les variétés dites féminisées, étant alors atteintes de monoecie, et susceptibles de se déclarer hermas lors de traumatismes tels des changements de photopériode...
Conclusion à oublier ici, car plante féminisé et déconseiller aux débutants.
à ne pas confondre donc avec les :
Les 36 heures d'obscurité lors du passage en floraison
sources :
Ils accélèrent la déclaration des sexes, mais le stretch s'en trouve affaiblit. Nombreux sont les débutants qui y attachent une grande importance, néanmoins c'est vraiment loin d'être capital...
De plus, cette méthode est totalement inutile lorsque :
les plants ont atteint la maturité sexuelle qui intervient en croissance (photopériode 18/6) au bout d'un temps variable selon la variété (de 3 à 8semaines).
on part de boutures dont le pied-mère d'origine a atteint la maturité sexuelle, et dont on connaît alors le sexe.